Un projet réalisé par :AR-QUO ARCHITECTES AU QUOTIDIEN
Architecte à Toulouse
Maître d’Ouvrage: GROUPE VALGO
Coût des travaux: 2 400 000 € HT
Le terrain situé à l’angle de 2 rues adjacentes s’appréhende directement depuis la place Saint Sernin par sa façade Sud.
Il est occupé pour les deux tiers de sa surface par deux bâtiments hétérogènes donnant sur une cour intérieure ceinturée d’un mur bahut austère, au crépis délabré.
Le bâtiment principal, de construction milieu du 19ème siècle – à usage de logements – ne présente aucun intérêt sur le plan architectural et sans relation avec les autres bâtiments de la place Saint Sernin ou de l’amorce des Rues des cuves Saint Sernin ou de la rue Gatien Arnould.
Le seul intérêt remarquable du site pour le quartier résulte de la présence d’un arbre majeur ombrageant la cour, et qui devra être respecté.
La proximité du site avec la basilique Saint Sernin a amené une réflexion longue avec les services des Bâtiments de France, sur les possibilités d’occupation du sol sur ce terrain ; tant sur l’implantation du bâtiment que sur les volumes, la hauteur des constructions et les accroches sur les bâtiments mitoyens.
De plus, la proximité connue avec les vestiges de l’ancienne abbaye de Saint Sernin ont induit une campagne de sondages préventifs archéologiques qui ont conclu à une faisabilité de l’opération présentée compatible avec les diagnostics et point de vue du Directeur du Service Archéologique de la D.R.A.C (Direction Régionale des Affaires Culturelles)
Sur la base de ces impératifs, après une concertation minutieuse des services concernés, le parti d’une implantation identique à celle des bâtiments existants, dans le respect de la "mémoire du lieu", a été le point de départ déterminant dans l’organisation du projet.
Le parti osé d’une architecture résolument contemporaine a été arrêté en commun avec tous les services concernés pour amorcer le renouvellement urbain du quartier et faire de ce projet une symbolique forte de son temps et de son époque, en rupture avec la référence quasi hégémonique de la brique.
Les accroches sur bâtiments mitoyens, sur 2 rues adjacentes, ont amené la création de deux volumes distincts en béton : l’un mitoyen, traité dans la continuité, abrité sous la tuile en forme de "croupe" ; l’autre en rupture coiffé d’une terrasse panoramique offrant une vue unique sur les toits du quartier et la basilique Saint-Sernin.
Le projet est désormais en attente de la décision de la Commission Départementale d’Equipement Commercial.
Il est occupé pour les deux tiers de sa surface par deux bâtiments hétérogènes donnant sur une cour intérieure ceinturée d’un mur bahut austère, au crépis délabré.
Le bâtiment principal, de construction milieu du 19ème siècle – à usage de logements – ne présente aucun intérêt sur le plan architectural et sans relation avec les autres bâtiments de la place Saint Sernin ou de l’amorce des Rues des cuves Saint Sernin ou de la rue Gatien Arnould.
Le seul intérêt remarquable du site pour le quartier résulte de la présence d’un arbre majeur ombrageant la cour, et qui devra être respecté.
La proximité du site avec la basilique Saint Sernin a amené une réflexion longue avec les services des Bâtiments de France, sur les possibilités d’occupation du sol sur ce terrain ; tant sur l’implantation du bâtiment que sur les volumes, la hauteur des constructions et les accroches sur les bâtiments mitoyens.
De plus, la proximité connue avec les vestiges de l’ancienne abbaye de Saint Sernin ont induit une campagne de sondages préventifs archéologiques qui ont conclu à une faisabilité de l’opération présentée compatible avec les diagnostics et point de vue du Directeur du Service Archéologique de la D.R.A.C (Direction Régionale des Affaires Culturelles)
Sur la base de ces impératifs, après une concertation minutieuse des services concernés, le parti d’une implantation identique à celle des bâtiments existants, dans le respect de la "mémoire du lieu", a été le point de départ déterminant dans l’organisation du projet.
Le parti osé d’une architecture résolument contemporaine a été arrêté en commun avec tous les services concernés pour amorcer le renouvellement urbain du quartier et faire de ce projet une symbolique forte de son temps et de son époque, en rupture avec la référence quasi hégémonique de la brique.
Les accroches sur bâtiments mitoyens, sur 2 rues adjacentes, ont amené la création de deux volumes distincts en béton : l’un mitoyen, traité dans la continuité, abrité sous la tuile en forme de "croupe" ; l’autre en rupture coiffé d’une terrasse panoramique offrant une vue unique sur les toits du quartier et la basilique Saint-Sernin.
Le projet est désormais en attente de la décision de la Commission Départementale d’Equipement Commercial.